Abraham dit à ses serviteurs : « Restez ici avec l’âne. Moi et le garçon nous irons jusque là-bas pour adorer, puis nous reviendrons vers vous. »

Abraham prit le bois pour l’holocauste et le chargea sur son fils Isaac ; il prit le feu et le couteau, et tous deux s’en allèrent ensemble.

Isaac dit à son père Abraham : « Mon père ! – Eh bien, mon fils ? » Isaac reprit : « Voilà le feu et le bois, mais où est l’agneau pour l’holocauste ? »

Comme j’ai eu à le dire, nous allons faire simple. Il ne faut pas compliquer les enseignements quand vous voulez aider les gens.

Hier, nous avons parlé d’une notion simple : la notice. Qu’est ce que nous avons dit ? Il faut verser le sang pour mener une vie normale. Mais le sang de qui ? De Jésus, des membres de la famille, des amis. Je connais des dames qui ont tue les amis pour faire leurs affaires. Après on va dire que je bavarde trop.

Je connais des journalistes qui ont tue leurs daf au Cameroun.

Voilà la Bible elle-même qui témoigne du mécanisme spirituel de la notion du sang. Donc je n’invente rien. Jusqu’à ce niveau tout est claire !


Athlètes de haut niveau de demain voici la clé : c’est Jésus.
EST -CE QU’ON DOIT FORCEMENT VERSER LE SANG ? SI OUI, LE SANG DE QUI ?
VOICI LE TEMOIGNAGE DE LA BIBLE.
Après ces événements, Dieu mit Abraham à l’épreuve. Il lui dit : « Abraham ! » Celui-ci répondit : « Me voici ! »
Dieu dit : « Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac, va au pays de Moriah, et là tu l’offriras en holocauste sur la montagne que je t’indiquerai. »
Abraham se leva de bon matin, sella son âne, et prit avec lui deux de ses serviteurs et son fils Isaac. Il fendit le bois pour l’holocauste, et se mit en route vers l’endroit que Dieu lui avait indiqué.
Le troisième jour, Abraham, levant les yeux, vit l’endroit de loin.
Abraham dit à ses serviteurs : « Restez ici avec l’âne. Moi et le garçon nous irons jusque là-bas pour adorer, puis nous reviendrons vers vous. »